Tout au long de sa carrière, l'ambassadrice O'Neill a soutenu la création et la mise en œuvre de stratégies et de cadres stratégiques nationaux pour plus de 40 pays, l'OTAN, l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe et les Nations Unies. Elle a contribué à la création du domaine des femmes, de la paix et de la sécurité et à son application au sein des gouvernements, des forces de sécurité, et des organisations multilatérales. 

Dans son rôle de présidente du « Institute for Inclusive Security », l'ambassadrice O'Neill a appuyé directement des coalitions de femmes dirigeantes en Colombie, au Sud-Soudan, au Soudan, au Pakistan et ailleurs. Dans le cadre de ce travail, elle a encouragé l’inclusion réelle des femmes dans les négociations de paix, les forces de sécurité, les dialogues politiques nationaux et l'élaboration des politiques. L'ambassadrice O'Neill a conseillé le gouvernement du Canada sur les premier (2011-2016) et deuxième (2017-2022) plans d'action nationaux sur les femmes, la paix et la sécurité. 

Elle a également travaillé au sein de la Mission de maintien de la paix des Nations Unies au Soudan ainsi qu’à l'université Ahfad pour les femmes à Khartoum. De concert avec l’ancien lieutenant-général Roméo Dallaire, elle a aidé à fonder la « Roméo Dallaire Child Soldiers Initiative » pour éliminer l’utilisation des enfants dans le cadre des conflits. Avant cela, l’ambassadrice O’Neill était la conseillère en politique pour le secrétaire d’État canadien pour la région de l’Asie-Pacifique. Récemment, elle a occupé les fonctions de « Global Fellow » au « Wilson Center Canada Institute », de professeure auxiliaire à l’Université de Georgetown et de membre du conseil d’administration du Conseil international du Canada. 

L'ambassadrice O'Neill est actuellement la représentante du Canada au Conseil consultatif sur l'égalité des sexes du G7 et la sherpa du Canada auprès du Partenariat mondial pour l’action contre le harcèlement et les abus en ligne fondés sur le genre.

Jacqueline O’Neill possède un baccalauréat en commerce de l’Université de l’Alberta et une maîtrise en politiques publiques de la « Kennedy School of Government » de Harvard.